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Voyages de Y. et J.
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5 juillet 2007

Voyage Roumanie, Moldavie

diaporamas en préparation.

Roumanie  et République de Moldavie.

Roumanie1_2007_104

Jour 01 : Bucarest, métamorphose d’une capitale européenne 

Bruxelles, Bucarest.

Avant-midi, rendez-vous à l’aéroport de Bruxelles Zaventem et envol pour Bucarest, par la compagnie nationale régulière roumaine, la Tarom. Vol direct d’environ trois heures.

Accueil par notre guide local francophone, tour de ville. Bucarest est sans aucun doute l’une des capitales encore discrètes en Europe, mais sur laquelle il faudra compter dans un proche avenir, tant sa métamorphose est en marche…Installation à l’hôtel « Central », de catégorie 3¨*** et bien situé, il a été rénové en l’an 2000 et est à quelques pas de l’Hôtel de ville.. Diner dans un restaurant à l’extérieur.

Diaporama: Bucarest.

Jour 02 : Le cœur des Carpates méridionales, de monts en merveilles…

Bucarest, Sinaïa, Brasov, Poiana Brasov. (env. 180 km)

En route vers les Carpates méridionales par la vallée de la Prahova. Arrêt à Sinaïa, la « Perle des Carpates », pour visite du splendide château de Peles, bâti en deux temps entre 1875 et 1914 par les rois Hohenzollern de Roumanie et ancienne résidence d’été des souverains roumains, aujourd’hui devenu un fantastique musée aux différents styles harmonieux pris ça et là dans le style néo-Renaissance allemand, conjugué avec des éléments italianisants, rococo français, hispano-mauresques ou enfin baroques. Visite d’un autre château plus modeste, celui de Pelisor, de style Art Nouveau. Déjeuner puis arrivée à Brasov, tour de ville. Bourg médiéval fondé en 1211, la ville ne manque pas de charme et de curiosités, dont ses remparts,les quartiers pittoresques et bien sûr la célèbre Eglise Noire avec sa collection de tapis anatoliens,  la plus grande église entre Istanbul et Vienne, elle a été construite en 1385 et devint luthérienne en 1542, si l’intérieur est gothique, l’essentiel de l’édifice est baroque. Traversée du quartier Schei, le seul quartier où les Roumains sont autorisés à vivre pendant des siècles, alors que les Saxons disposaient de la majeure partie de la ville, c’est dans ce quartier que se trouve l’église St Nicolas, de nette inspiration allemande.

Nuitée en montagne dans la station de sports d’hiver de Poiana Brasov, hôtel « Sportu » ou « Bradul », établissements de la même chaîne, récemment très joliment rénovés. Dîner dans une auberge montagnarde, le Sura Dacilor.

Jour 03 : au beau pays des Légendes de Transylvanie

Poiana Brasov, Rasnov, Bran, Curtea de Arges (env. 130 km)

Le nom de Transylvanie est nimbé d’une aura de mystère voire de malédiction. Dédale de collines s’appuyant sur les cîmes des Carpates, c’est une région bien réelle bien ancrée dans la Roumanie européenne, elle a vu défiler à travers son histoire des populations d’origines différentes (allemande, magyare, juive, arménienne, rom) qui ont chacune marqué à leur façon leurs empreintes cet espace entre Orient et Occident.

Visite de la forteresse de Rasnov, très bel exemple de restauration selon les plans d’origine d’une forteresse allemande bâtie au XIIIème siècle, située à 130 m d’altitude, et dont l’intérieur est organisé comme un petit village, Puis direction vers le célèbre et légendaire château de Dracula à Bran, belle construction d’art féodal, érigé en 1377 dans le défilé de Bran, pour surveiller la route marchande à l’ancienne frontière entre la Transylvanie et la Valachie. Ayant appartenu à un moment donné de son histoire au Prince Vlad, dit Vlad l’Empaleur, lui-même à l’origine du personnage du roman de Bram Stocker, le château de Bran est souvent appelé « le château de Dracula ». ! En 1920, le château a été réaménagé en résidence romantique par la reine Marie de Roumanie. Déjeuner en cours de route, puis en longeant les monts Fagaras, arrivée à Curtea de Arges, visite de la Cour Princière, la Domneasca, décorée d’éléments byzantins et abritant les tombeaux du roi Ferdinand 1er et de sa femme Marie. L’ensemble est un chef d’œuvre de l’art féodal sacré du XVIème siècle, et restauré au XIXème. Cette ville est située dans un cadre agréable au pied des montagnes, et était autrefois la capitale des Princes de Valachie. Hôtel « Posada ».

Jour 04 : Paysages de la vallée de l’Olt & Sibiu, Capitale Culturelle Européenne 2007

Curtea de Arges, Cozia, Sibiel, Sibiu (env. 145 km)

Cap vers la vallée de l'Olt, visite du monastère de Cozia, construit dans un ravissant site naturel et érigé en 1386 par le premier grand prince valaque Mircea le Vieux. Continuation vers le village de bergers de Sibiel connu pour son musée des icônes sur verre. Déjeuner villageois, une immersion dans la vie quotidienne d’un village traditionnel, ses plats, ses coutumes. Continuation vers Sibiu, à 20 km, l'une des plus belles villes roumaines et Capitale Culturelle Européenne de l'année 2007. Tour de ville qui vous présentera les nombreux témoignages de sa riche histoire, principalement moyenâgeuse : remparts, tours, bastions, la ville haute avec ses toits et maisons caractéristiques, la grand Place où avaient lieu les réunions et les exécutions, les églises catholiques et orthodoxes, les ruelles et les anciennes maisons des Corporations….Vous passerez par le Passage des Escaliers et le Mur aux Arches qui fait la liaison entre la ville basse et la ville haute, vous tomberez très certainement sous le charme inouï de cette ville chargée d’histoire et mise à l’honneur cette année par son statut européen qui la sort enfin de l’ombre. Dîner et logement dans le très bel hôtel « Imperatul Romanilor ", de style début de siècle.

Jour 05 : Patrimoine et architectures fortifiées de l’époque Saxonne

Sibiu, Biertan, Sighisoara (env. 130 km)

Continuation de la visite de Sibiu avec le palais-musée de Brukenthal, l'un des plus importants musées d’art d'Europe Centrale (dont une section de peintures flamandes, avec quelques Rembrandt, Rubens et Van Dijck). Visite du village fortifié saxon de Biertan, dont sa grandiose église fortifiée, inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Cette église fortifiée fut le siège de l’Episcopat luthérien de Transylvanie de 1572 à 1867. Déjeuner dans un restaurant médiéval. Arrivée à Sighisoara, sans doute la plus jolie ville historique de Roumanie, et la mieux préservée (protégée à juste titre par l’Unesco), c’est d’ailleurs la seule ville-citadelle d’Europe, qui est encore habitée comme à son origine. Balade dans les différents quartiers pittoresques de cette superbe cité chaleureuse, aux nombreuses ruelles et escaliers reliant la ville basse et la ville haute, où dominent la forteresse et la tour de l’Horloge qui date du XIVème siècle et qui fait 64 m de haut. Ne manquez pas la grimpette de l’Escalier couvert, il compte 175 marches en bois protégé par un toit et mènant à la vieille école depuis 1642 . C’est ici aussi que se trouve la maison natale du Prince Vlad l’Empaleur, à l’origine des contes et légendes du Conte Dracula. Hôtel « Sighisoara », bel hôtel de cachet en centre ville. Pour ceux qui aiment l’atmosphère romantique, laissez-vous tenter par une petite promenade digestive : les petits cafés installés sur les terrasses, les étroites ruelles aux lampes anciennes, les maisons peintes en rose, jaune ou bleu seront un vrai délice pour clôturer cette agréable étape…

Jour 06 : Du romantisme germano-hongrois aux traditions rurales du nord

Sighisoara, Targu Mures, Bistrita, les Maramures (env. 310 km)

Départ pour Targu Mures, tour de ville de cette autre cité historique marquée par la présence hongroise depuis plusieurs siècles, ici c’est l’Art Nouveau qui triomphe. Visite du Palais de la Culture, dont l’intérieur est splendide. Déjeuner au restaurant Coroana de Aur à Bistritra. Ensuite route vers la région si typique des Maramures, à la frontière de l’Ukraine et la Hongrie, très jolie région rurale où les églises en bois sont admirablement conservées. Grâce sans doute à son isolement les coutumes séculaires sont ici plus vivaces que partout ailleurs dans le pays. Les forêts sont légion, le bois constitue depuis toujours le principal matériau de construction. Nuitée chez l'habitant à Botiza (ou autre village de la région). Répartition des chambres dans plusieurs maisons accueillant régulièrement les touristes. Nous partagerons ainsi, le temps d’un soir, leur vie et leurs coutumes.

Jour 07 : Trésors de l’architecture populaire des Maramures.

Sapanta, l’Iza, Ciocanesti, Campulung Moldovenesc. (env. 220 km)

Après le petit-déjeuner, visite de quelques-uns des plus beaux sites de cette région: le cimetière de Sapanta, surnommé le « cimetière joyeux ». Véritable musée d’art naïf en plein air, œuvre du sculpteur paysan Stan Patra, comprenant plus de 250 croix sculptées et peintes, évoquant la vie des défunts et leurs métiers. Vous aurez plaisir à contempler de véritables chefs-d’œuvre de l’architecture populaire villageoise, de jolies maisons que vous verrez à travers de magnifiques portails en bois sculpté et bien sûr les fameuses églises en bois, dont celles de Batsana, de Rozavlea et de leud (déjeuner), situées dans la vallée de l’Iza, et datant pour la plupart du XIVème siècle . Via le col montagneux de Prislop et son panorama étendu, arrivée au village aux maisons peintes de Ciocanesti. Étape en Bucovine à Campulung Moldovenesc, au pied des monts Rarau. Hôtel « Zimbru », le meilleur de la ville, de catégorie plus faible que ceux de notre circuit, mais connu pour son hospitalité.

Ce soir, une soirée folklorique agrémentera votre étape….

Jour 08 : les monastères peints de la Bucovine moyenâgeuse

Moldovita, Sucevita, Marginea, Voronet, Piatra Neamt. (env. 210 km)

D’immenses forêts alternent avec un paysage opulent de prairies et de villages coquets. De bois brut ou habillée de couleurs, la maison de Bucovine illustre l’art de vivre de cette région. Et c’est ici que se cache le véritable trésor de cette région, les monastères uniques aux murs illuminés de fresques colorées. Etienne le Grand, le voïvode de Moldavie, et son entourage font construire au XVème siècle une église après chaque victoire remportée contre les Turcs envahisseurs, ils érigent ainsi pas moins de 44 églises et monastères ! Cinq d’entre eux ont la caractéristique de posséder des fresques en couleurs.  Les jours de fête, les paysans pouvaient ainsi contempler sur les murs « la Bible en images », alors que les églises étaient trop petites pour les accueillir.

Départ vers les célèbres monastères classés par l'UNESCO, dont Moldovita, avec sa célèbre fresque du siège de Constantinople.  Puis celui de Sucevita, monastère fortifié du XVième siècle, est entouré d’une enceinte qui forme une cour carrée. Déjeuner dans ce dernier site. Visite d'un atelier de poterie noire à Marginea, puis du monastère de  Voronet, surnommé

« la chapelle Sixtine de l'Orient ", véritable joyau de la Bucovine, dont la fresque du Jugement Dernier est mondialement connue. Piatra Neamt sera notre étape, hôtel « Central ».

Jour 09 : Nature et culture préservées en Moldavie

Le lac Rouge, les gorges de Bicaz, Iasi (env. 340 km)

Après le petit-déjeuner, départ pour le lac Rouge, curieux lac de montagne à la surface hérissée de troncs d’arbres, qui prend son nom de la couleur reflétée par le massif Ghilcos au couché du soleil. Le lac est apparu en 1837 suite à un glissement de terrain qui a barré la petite rivière Rosu. Nous y arriverons via les spectaculaires gorges de Bicaz, un parcours à grand spectacle aux parois abruptes atteignant jusque 1200 m.

Etape à Iasi, importante ville culturelle frontalière. Pôle de la vie intellectuelle et site de la plus ancienne université du pays, Iasi a la réputation d’être un centre de la francophonie. Notre hôtel y sera confortable et bien situé, il s’agit de l’hôtel « Troian », possédant lui aussi une situation centrale. Le bâtiment tout rouge est un monument historique, un élégant édifice conçu par Gustave Eiffel.

Jour 10 : Cap vers l’inconnu, la république de Moldavie !

Iasi, Chisinau – République moldave (env. 220 km)

Entrée le matin en République de Moldavie, formalités de frontière à Ungheni. Déjeuner en cours de route, tour de ville de la capitale moldave Chisinau aux curiosités restreintes (anciennement appellée Kichinev sous l'époque soviétique) : les parcs, cathédrale et églises orthodoxes, le bazar, la synagogue, l’ancien ghetto…Installation hôtel « Codru », ou similaire.

Chisinau est aujourd’hui la capitale d’un état quasi inconnu en Europe, l’un des deux plus pauvres aussi (avec l’Albanie), miné par des problèmes internes dû aux régionalismes frontaliers avec l’Ukraine, avec deux régions autonomes, l’une relativement stable, la Gagaouzie, et une autre bien plus problématique car plus revendicatrice, la Transnistrie (que nous ne visiterons pas). La république moldave n’est pas si petite qu’on ne pense, elle fait 33.700 km², soit quasiment la même superficie que la Belgique. Elle a un autre trait commun avec notre pays, il s’agit en effet d’un autre « plat pays », constitué de collines et de plateaux, dont le point culminant est 430m d’altitude. Deux fleuves parcourent le pays, l’un d’entre eux est la frontière naturelle avec la Roumanie, et son nom provoque irrésistiblement l’hilarité, elle se nomme en effet …la Prout ! C’est un pays dont la ressource majeure est l’agriculture, et son isolement politico-géographique en ont fait un pays fortement isolé, isolement accru par son absence d’accès à la mer. Sa population est d’environ 4.3 millions d’habitants.

Jour 11 : les curiosités insoupçonnées d’un pays oublié

Chisinau, Tipova, Ordheiu Vechi, Cricova, Chisinau (environ 200 km)

C’est au nord de la Moldavie que nous ferons connaissance avec les curiosités de cette république très méconnue d'Europe: les monastères troglodytes de Tipova et surtout de Orheiu Vechi, ce dernier étant un ensemble monastique taillé dans une imposante falaise rocheuse, un lieu sauvage et isolé, très certainement le site le plus surprenant et important du pays. Tipova est quant à lui le plus grand couvent troglodyte d’Europe de l’Est, très ancien puisque son origine date du Xème siècle. Quasi abandonné sous le régime soviétique, il a repris ses activités premières depuis seulement une bonne dizaine d’années. Ces deux sites seront une réelle surprise de découvertes originales.

Ensuite, c’est une autre célébrité moldave qui nous accueille, à savoir une cave à vin, les plus connues étant celles de Cricova, de renommée mondiale. On l’ignore souvent mais ce pays est un exportateur important de vins, blancs surtout, dont les ex-pays de l’Est sont de friands consommateurs. Cricova, c’est 120 km (oui, 120 km) de dédales de caves, dont 60 sont consacrés au stockage du vin. Le domaine produit près de 30 millions de litres de vin annuellement, et sa production était autrefois l’un des fleurons viticole de l’ex-URSS. Pour notre plus grand bonheur ce domaine se visite… Retour à Chisinau.

Jour 12 : de Chisinau au célèbre delta du Danube, trésor écologique.

Chisinau, Galati, Tulcea, Uzlina (étape d’env. 370 km)

Retour en Roumanie. Départ matinal. Passage à nouveau de la frontière pour continuer notre itinéraire roumain. Longue route inévitable pour atteindre le fameux delta du Danube, unique en Europe, paradis sans pareil formé par un réseau de bras d’eau,de lacs, d’îles de roseaux, de pâturages et de dunes. A travers ses 520.00 hectares, on y trouve plus de 300 espèces d’oiseaux, et des poissons en grand nombre. La richesse de la faune a offert au delta son classement en Réserve Mondiale de la Biosphère par l’Unesco.

Nous longeons le Danube jusqu’à Tulcea, traversée de la ville et continuation le long du bras St Georges vers Murighiol. Embarquement à bord d’un bâteau et transfert en un lieu isolé en plein delta, pour mieux savourer cette étape nature, dans un bel établissement, l'hôtel « Cormoran » à Uzlina. Ici vous vivrez un dîner avec feu de camp. Certainement un moment qui marquera l’esprit de ce voyage avec un sentiment de se trouver au  bout du monde

Jour 13 : Vie du delta, archéologie et douceur de la mer Noire

Le delta, Istria, Mamaïa (env. 130 km)

Avant-midi, excursion en barques d'environ 4 heures dans le delta afin de mieux en appréhender son atmosphère. Retour vers Tulcea pour le déjeuner puis direction sud pour la visite du site archéologique grec d'Istria, la plus ancienne cité connue en Roumanie. Sa création est l’œuvre des colons grecs, pendant longtemps elle joua un rôle important dans le commerce régional. Elle ne fut réellement abandonnée qu’à l’époque byzantine. Si aujourd’hui le site est modeste en comparaison avec d’autres sites archéologiques, les ruines révoquent douze siècles d’existence, et composent désormais un vaste ensemble couvrant les époques grecques, romaines et byzantines, et en font un site sans égal en ce pays. Arrivée en bordure de la mer Noire, installation pour deux nuits à Mamaïa, la plus importante station balnéaire roumaine, hôtel Riu Fantasy Beach ou similaire.

Jour 14 : Farniente et dolce vita roumaine.

Mamaïa

Vous êtes ici à 7 km de la ville portuaire de Constanta, la station ne fait pas moins de 8 km d’étendue, possède une bonne soixantaine d’hôtels et possède une très grande plage de sable. C’est une station très animée aux nombreuses possibilités de distraction, récemment on y a créé l’Aqua Magic, un parc d’attractions aquatiques.

Journée libre en bordure de mer, détente en prévision ... Si vous le souhaitez, possibilité de prendre un moyen de transport public pour vous rendre à Constanta, ville portuaire agréable.

!!! pour vous laisser plus de liberté, exceptionnellement le repas de midi n’est pas compris.

Jour 15 : D’une capitale à une autre. Le temps du retour

Mamaïa, Bucarest, Bruxelles (étape env. 220 km, puis vol)

Retour sur Bucarest le matin pour embarquement sur vol retour direct de la Tarom à destination de Bruxelles, vol prévu en principe en mi-journée (horaires des vols non connus au moment de l’édition de notre programme).

Fin d’un périple insolite et surprenant !

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